Les participant.e.s aux tables de conversation de l’asbl SINGA sont allé.e.s au KVS pour la pièce Umuko de Dorothée Munyaneza.

Avec cinq jeunes artistes rwandais, des danseurs, un poète et des musiciens, elle célèbre la créativité, l’audace et la liberté d’une nouvelle génération qui perpétue la mémoire du passé tout en rêvant de l’avenir.
Dorothée Munyaneza réunit sur scène cinq jeunes artistes rwandais. Des « anciens tout neufs », selon les mots de Kae Tempest, des hommes et des femmes qui rêvent du Rwanda de demain mais n’ont rien oublié. Avec eux, elle évoque l’umuko, l’arbre aux fleurs rouge vif qui a illuminé son enfance. Réunis autour de l’umuko, ils tentent de faire le lien entre ce qui a été préservé, ce qui reste debout face à la destruction et ce qui reste à venir.


Qu’est-ce que j’ai vu ?
Passé, présent, futur
Beaucoup de rouge
Des gens qui savent danser et jouer
Des codes que je reconnais pas mais qui m’ont fait penser à des choses
Des personnes habillées différemment… Les anciens et les jeunes
Des mouvement de corps magnifiques, des couleurs très bien choisies
Des gens portraits des cycles de la vie
Des styles différents qui affectent la danse. Le rythme racontait une histoire même si j’ai pas tout compris
Des gens qui dansent. Couleur
Tous les sentiments au même temps donc je me sens triste
Des gens qui dansent en harmonie avec le son
Costumes très spéciales
Une chose très rare
Mouvements et rythmes surprenants
Le rapport entre la tradition et la culture contemporaine
Talents cachés qui ressortent
Très peu d’instrument pour faire de la musique
Une troupe magnifique. Du chant, de la danse
Des chants et des danses très lentes… la souffrance et le passé
Des danses avec beaucoup d’énergie… l’espoir pour le futur
Un très beau tableau de vie
Un pays qui mérite qu’on s’y attache